Questions spirituelles diverses ????

tu peu mettre le lien de la page ..... stp merci

Merci Criscool !
Comme j'avais pas tout à fait compris, je suis allée voir les notes de BIBLE ANNOTEE :

Selon les mœurs orientales, c’était déjà une grande liberté pour les femmes que de paraître dans des assemblées publiques. Les apôtres avaient donc raison de désirer qu’elles évitassent dans leur mise tout ce qui aurait pu prêter à la calomnie de la part des adversaires de la foi, et qu’en général leur vie fût ornée, non des objets de luxe, aliments de la vanité, mais de bonnes œuvres, servant à l’édification. Il serait peu conforme à l’Évangile, qui est la loi de la liberté, de vouloir astreindre les femmes chrétiennes à observer à la lettre ces préceptes qui peuvent varier selon les temps, les mœurs et les positions ; mais très certainement l’esprit de ces recommandations est universellement violé en nos temps. Il est tout simplement scandaleux de voir une femme faisant profession de piété, qui cherche à attirer sur elle les regards par son luxe et qui se montre esclave de la mode.

Et un autre morceau très intéressant:

L’apôtre ne permet pas à la femme d’enseigner dans l’Église, ni d’y déployer aucune activité publique. En revanche, il lui assigne sa vraie place, soit dans le cercle de la famille, soit dans la vie chrétienne. Être mère, élever ses enfants pour le ciel, leur donner l’exemple de la foi, de la charité, de la sainteté, de la modestie, voilà sa destination.
Par là, elle est affranchie de la malédiction prononcée sur elle après la chute ; ses douleurs, ses humiliations, ses renoncements deviennent pour elle des bénédictions, et elle sera sauvée quoiqu’elle soit le premier auteur du péché. Telle est l’explication la plus habituelle de cette parole obscure : « La femme sera sauvée par l’enfantement ».
D’autres commentateurs pensent qu’il s’agit ici spécialement d’Ève dont la postérité écrasera la tête du serpent. « La femme produira le salut pour l’homme, tout en le recueillant pour elle-même par l’enfantement de la semence qui lui fut promise » A. Monod.
Ce qu’il dit d’Ève, le type de la femme. L’apôtre l’étend à tout son sexe. Cette transition est marquée dans l’original par le passage subit du singulier au pluriel : « Elle (la femme) sera sauvée par l’enfantement, pourvu qu’elles (les femmes) persévèrent dans la foi ». — Quoi qu’il en soit, il est évident que l’apôtre ne voit pas la cause du salut de la femme dans sa vocation de mère, puisqu’il lui montre, comme à tout pécheur, le chemin du salut dans la foi, la charité, la sainteté et qu’il lui demande de persévérer dans ces vertus en y joignant la modestie.

PS: Parle t'il aussi d'enseigner les enfants ??? (1ère phrase)


Commentaire de HALE :

Du temps de Paul, les femmes légères ou mondaines avaient l’habitude de tresser leurs cheveux et de les nouer avec des rubans. Elles portaient des bijoux de prix et des vêtements somptueux, cherchant à afficher leurs richesses et leur importance. Paul enseigne ici qu’un comportement aussi orgueilleux et aussi ostentatoire n’est pas convenable.

Et cette partie est vraiment drôle :

Parce qu’Ève a péché, Dieu l’a punie en lui disant : « Je rendrai tes grossesses très pénibles ». Paul déclare ici que si la femme persévère dans la foi, dans l’amour, dans la sanctification, Dieu la préservera dans les douleurs de l’enfantement. Combien cette promesse s’est révélée vraie ! Depuis l’époque de Paul jusqu’à nos jours, les femmes ont, mieux que les hommes, démontré dans leurs vies ces vertus suprêmes de foi, d’amour et de sainteté. Il est donc juste de dire qu’une femme qui revendique l’égalité avec l’homme se fixe un objectif trop bas !

J'ai encore trouvé des notes intéressantes de Mc Donald:
(Pour ceux que ça intéressent)

Nous suggérons l’interprétation suivante du passage comme la plus raisonnable. Tout d’abord, le salut, dont il est question ici, ne s’applique pas au salut de son âme, mais plutôt au salut de sa position dans l’Eglise. De ce que Paul a déjà dit dans ce chapitre, certains pourraient avoir l’impression que la femme n’occupe aucune place dans les desseins et conseils de Dieu et qu’elle est réduite à un rôle insignifiant. Mais Paul conteste cette façon de voir. Bien qu’il soit vrai qu’aucun ministère public ne lui est attribué dans l’Eglise, elle a cependant un ministère important. Dieu a décrété que la place de la femme est au foyer, et consiste plus spécifiquement à élever des enfants pour l’honneur et la gloire du Seigneur Jésus-Christ. Pensez aux mères des conducteurs spirituels dans l’Eglise chrétienne aujourd’hui !

Ces femmes ne sont jamais montées à une tribune publique pour prêcher l’Evangile, mais en élevant leurs enfants pour Dieu, elles ont été vraiment sauvées en ce qui concerne la position et les fruits portés pour Dieu.

Lilley écrit :
Elle sera sauvée des résultats du péché et rendue capable de maintenir une position d’influence dans l’Eglise en acceptant sa destination naturelle comme épouse et mère, à la condition que cette renonciation soit en outre ratifiée par les fruits d’un caractère chrétien sanctifié.

Arrivés à ce stade, la question suivante est parfois posée : « Qu’en est-il des femmes qui restent célibataires ? ». La réponse est que dans ce passage, Dieu traite des femmes en général. La majorité des femmes chrétiennes se marient et ont des enfants. En ce qui concerne les exceptions, il y a beaucoup d’autres ministères utiles qui leur sont confiés et qui n’impliquent pas l’enseignement en public ou le fait de prendre de l’autorité sur les hommes.

Notez la clause qualificative à la fin du v. 15 : Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans l’amour et dans la sainteté. Ce n’est pas exactement une promesse inconditionnelle. La pensée est la suivante : si le mari et son épouse maintiennent un témoignage chrétien fidèle, honorent Christ dans le foyer et élèvent leurs enfants en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur, alors la position de la femme sera sauvée. Mais si les parents mènent des vies insouciantes, mondaines, et négligent l’éducation de leurs enfants, ceux-ci risquent très fort d’être perdus pour Christ et l’Eglise. Dans un tel cas, la femme n’atteint pas à la vraie dignité que Dieu a ordonnée pour elle.

Que personne ne s’imagine que le ministère des femmes, étant d’une nature privée et domestique, est moins important que celui qui a davantage un caractère public. Il a été très justement dit : « La main qui berce le nourrisson est la main qui dirige le monde. » Dans l’avenir, au tribunal de Christ, c’est la fidélité qui comptera, et c’est une qualité qui peut tout aussi bien être manifestée au foyer qu’en chaire.

Allez je vais encore vous faire réfléchir:

Hébreux 11 : 35 à 40

"Des femmes retrouvèrent leurs morts par la résurrection. D’autres furent torturés et n’acceptèrent pas de délivrance, afin d’obtenir une résurrection meilleure. D’autres éprouvèrent les moqueries et le fouet, bien plus, les chaînes et la prison. Ils furent lapidés, mis à l’épreuve, sciés, ils furent tués par l’épée, ils allèrent çà et là, vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, opprimés, maltraités –eux dont le monde n’était pas digne !- errant dans les déserts, les montagnes, les cavernes et les antres de la terre.
Et tous ceux–là, qui avaient reçu par leur foi un bon témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur avait été promis. Car Dieu avait en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parviennent pas sans nous à la perfection."

Comment comprenez vous tout ça ?

Eéééé!!
Attends, attends! Je crois que Rachou avait une question. Je me trompe?
Chacun son tour, non?

Rachou a dit:

Citation :

Pour être sauvé il faut PERSONNELEMENT suivre le Seigneur mais dans Actes 16v31 il est dit: Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé toi et ta famille.

Comment vous comprenez ça?? Est-ce que notre famille qui n'est pas chrétienne sera aussi sauvée parce que nous on croit????


(je vois vraiment pas comment on doit comprendre se verset)

A première vu je dirais que c'est par l'influance du père sur sa famille que les autres membres seront aussi sauvé en axeptant personnelement le Sauveur.

Christophe a raison;
il faut cependant considérer que l'apôtre s'adresse à une personne particulière dans un contexte particulier. ce n'est donc pas forcément à généraliser pour tout le monde;

Oui Momo... Ici l'apôtre parle vraiment à cette personne, à cette famille en particulier, je crois...

Mais je crois que le Seigneur a une attention particulière pour les personnes pour lesquelles les chrétiens prient : Il permettra des difficultés, une maladie, que sais-je encore ?
Alors si nous prions pour quelqu'un de notre famille, ne nous lamentons pas s'il lui arrive quelque difficulté !
Mais plutôt continuons d'intercéder en disant : "Père, tu connais toute chose, conduis, agis selon ta volonté".
Et aussi, soyons des témoins par notre conduite, et si Le Seigneur donne une occasion, en parole aussi.

MAIS la décision pour le Seigneur, c'est-à-dire la reconnaissance de son état de pécheur devant Dieu, la repentance et la conversion sont un acte QUE PERSONNE NE PEUT FAIRE A LA PLACE DE LA PERSONNE... Dieu ne force personne.

Le Seigneur veut un peuple de sacrificateurs QUI L'AIENT CHOISI...

Est-ce juste ?

entierement d'accord

autrement dit dans un commetaire biblique:
".... et ta famille signifie que les membres de ta maison qui etaient assez vieux pour croire qu'ils etaient sauves, s'ils croyaient en Christ. Chaque pers. devait croire pour etre sauvé"

Alors... Petite question...
Quelqu'un saurait me répondre ? Lisez ce passage, Jean 6. 47-58 :

47 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle.
48 Je suis le pain de vie.
49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.
50 C’est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.
51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c’est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là–dessus, les Juifs discutaient entre eux, disant : Comment peut–il nous donner sa chair à manger ?
53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez son sang, vous n’avez point la vie en vous–mêmes.
54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.
55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.
56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.
57 Comme le Père qui est vivant m’a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.
58 C’est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n’en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.

Comment comprenez-vous ce passage ?
Pas si simple, mais essayez de répondre !

ca n'a pas un lien avec la prise de la saint cène ?

Je pense que ce passage cherche à nous faire réfléchir sur l'éternité, ou allons-nous passer l'éternité, mais aussi de quoi est-ce que je me préoccupe tant que je suis sur terre, ces 2 questions sont liées.

"Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui."

Bien sur c'est une image ^^. On peut avoir faim et soif de pleins de choses: on peut avoir soif d'argent, soif de succès, soif de beauté, soif de bonheur, mais ce n'est pas grace à ces choses qu'on peut avoir la vie éternelle.

Prenons par exemple Brad Pitt et Angelina Jolie: ils ont la gloire le succès l'argent la beauté le bonheur des enfants etc... Mais ils n'ont pas soif de Jésus. Sans Jésus on peut exister, mais on ne peut pas Vivre.

Durant notre court séjour sur terre on peut courir après pleins de choses, vouloir devenir comme Brad et Angelina par exemple, on peut avoir faim et soif de ça, mais ce n'est pas ça qui va nous désaltérer et assouvir notre faim; "Car ma chair est VREMENT une nourriture, et mon sang est VREMENT un breuvage."

Il faut donc avoir faim et soif de Dieu, jour après jour, ça doit etre ça notre attitude de vie, et pas vouloir etre une star, ou vouloir etre comme les jeunes de ce monde.
Si vous avez donné votre vie à Jésus vous etes dans ce monde mais vous n'en faite plus partie! Alors rien ici ne pourra vous désaltérer, il faut vous tourner vers Jésus qui est la source de Vie.

"C’est ici le pain (Jésus) qui est descendu du ciel." ... "celui qui mange ce pain vivra éternellement."

Vous vous demandez peut-etre comment "manger ce pain", placez Dieu au centre de votre vie, qu'il soit à la 1ere place, recherchez ça présence chaque jours, parlez lui, lisez sa parole, obéissez lui, et vous n'aurez plus jamais faim ni soif

En fait, ça veut dire croire en Lui, le suivre, marcher sur le chemin qu'Il a lui-même pris.
Et c'est quoi, ce chemin ? Il a renoncé à tous ses privilèges... Il a quitté la gloire du ciel pour mourir pour nous, et nous donner le pouvoir de devenir des enfants de Dieu.
C'est à nous maintenant de le servir, par amour. A cause du salut qu'il nous a offert. Et le renoncement à soi-même est nécessaire. Parce que tant qu'on n'a pas renoncé, on a peur de dire toute la vérité. On stresse. Souvent moi je stresse. Parfois non. Je stresse quand je veux être quelqu'un, que je veux être reconnu au yeux des autres. Ce n'est pas ça, l'évangile.
On doit apprendre à renoncer à être quelqu'un, et apprendre à être un serviteur, c'est-à-dire quelqu'un qui apporte l'évangile aux autres, sans craindre ce que les gens diront.

C'est tout un cheminement... Ce n'est pas naturel, on a tous envie d'être appréciés. Je souligne que ce que j'écris compte pour moi en premier...

Heu, je ne suis pas trop d'accord avec toi, Colin...
Il est dit :
"Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites ceci EN MÉMOIRE de moi. (...) Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous."
Je ne crois pas qu'il faille fléchir le genou devant le pain et le vin, MAIS DEVANT DIEU. La cène NOUS RAPPELLE ce que Le Seigneur a fait pour nous, que par son sang qui a coulé, que par son corps qui a été brisé, cette relation qui avait été brisé entre Dieu et nous a été renouée ! Gloire à Dieu !

Et la cène est symbolique et n'est en rien un acte magique ou mystique. Elle ne doit être prise que par ceux qui ont accepté Jésus-Christ comme leur Sauveur et Seigneur ! (1 Corinthiens 11. 27-30). Les autres s'attirent une condamnation sur eux-mêmes.

D'ailleurs, c'est une des dérives de l'église catholique : On fait n'importe toute l'année, ensuite on vient à l'église, on prend l'hostie, et tout est réglé... La Bible dit, au contraire : "Sans la sanctification, nul ne verra Le Seigneur..." et "C'est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi..."

Quelqu'un a des questions ?

Moi j'ai une petite question:

Si Dieu aime les hommes, pourquoi leur laisse-t-il le choix, au point de risquer qu'ils aillent tous en enfer? Pourquoi n'offre-t-il pas son pardon à tous les hommes sans exception, puisque la dette est payée?

"Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, Et tu ne peux pas regarder l’iniquité." Habakuk 1. 13.

Voilà un verset qui donne la réponse, ou une partie de la réponse...

Les yeux de Dieu sont trop purs pour voir le mal. Un autre verset dit qu'il n'y a pas de pardon sans aspersion de sang. Dans l'ancien testament, c'est le sang des animaux sacrifiés qui donnait le pardon. Dans le nouveau testament, c'est Jésus qui a par son sang obtenu le pardon des péchés des Hommes. Mais pour avoir ce pardon, il faut l'accepter...

Et ça se fait en plusieurs étapes :
- Accepter que notre péché nous sépare de Dieu. (Verset ci-dessus)
- Accepter que nous ne pouvons plaire à Dieu.
- Nous repentir de notre péché.
- Accepter Jésus comme Sauveur, puis comme Seigneur.

Lorsque ceci est fait, DIEU NOUS VOIT PARFAITS AU TRAVERS DE SON FILS JÉSUS ! N'est-ce pas merveilleux ?

Pour répondre plus précisément à ta question, Prisca, Dieu offre son pardon à tous les Hommes, encore faut-il l'accepter...
Et Dieu veut un peuple de sacrificateurs QUI L'AIENT CHOISI !

J'ai répondu ? D'autres questions ? Des précisions ?

Z'ai une autre petite question (et j'e ai encore plein en réserve... )

Dans le Psaume 109, entre autre, David est vachement vénèr contre ses ennemis, et ça va jusqu'à:

Quand on le jugera, qu'il soit déclaré coupable, Et que sa prière passe pour un péché !8 Que ses jours soient peu nombreux, Qu'un autre prenne sa charge 9 Que ses enfants deviennent orphelins, Et sa femme veuve !10 Que ses enfants soient vagabonds et qu'ils mendient, Qu'ils cherchent du pain loin de leur demeure en ruines !11 Que le créancier s'empare de tout ce qui est à lui, Et que les étrangers pillent le fruit de son travail !12 Que nul ne conserve pour lui de l'affection, Et que personne n'ait pitié de ses orphelins !13 Que ses descendants soient exterminés, Et que leur nom s'éteigne dans la génération suivante !
14 Que l'iniquité de ses pères reste en souvenir devant l'Éternel, Et que le péché de sa mère ne soit point effacé !
15 Qu'ils soient toujours présents devant l'Éternel, Et qu'il retranche de la terre leur mémoire...

Dieu ne veut-il pas qu'on aime nos ennemis? Plus haut dans le Psaume, David dit quand même:

Tandis que je les aime, ils sont mes adversaires ; Mais moi je recours à la prière.

Mais ça va pas un peu loin là?

Voila ce que je pense, corriger moi si je me trompe.

David a vécu au temps de l'ancien testament et donc il obéi aux lois de Dieu. C'est plus tard, quand Jésus est venue qu'il nous a dit d'aimer nos ennemis.

Je sais pas si t'as compris, quesque vous en pensez les autres ??

Ouais, mais yavait qd même un des 10 commandements: "aime ton prochain comme toi-même"

Veuillez m'excuser, la question que j'avais posé sur Jean 6 et l'interprétation de la phrase manger mon corps et buvez mon sang était formulée très maladroitement.
En plus, désolé Bertrand, mais mon ADSL est en panne depuis 2 semaines, d'où la lenteur de ma réponse... Alors déjà que je viens pas souvent, c'est pas très sérieux.

En fait, j'ai posé cette question parce que j'ai lu une biographie formidable sur le révérend Charles Chiniquy. Il a vécu au XIXè s. au Canada et a servi comme prêtre catholique pendant environ 30 ans avant d'accepter le salut sur la grâce. En tant que prêtre, il croyait donc avoir le pouvoir de transformer la petite galette de pain, l'hostie, en Jésus-Christ. Il en était tellement convaincu qu'il transportait l'hostie avec préciosité jusqu'à l'église pour la messe. Logique puisque c'était Dieu lui même qu'il portait !

Voici ce qu'il en pense après sa conversion :

NB : transsubstantiation = transformation de l'hostie en Jésus-Christ en personne

"La transsubstantiation est une imposture, la messe a été inventée pour faire de l'argent. Paul parlant aux Athéniens, dit : "Dieu ne peut être fait avec de l'or ni de l'argent". Si le grand apôtre avait été interrogé à ce sujet, il aurait certainement dit aussi que le Dieu Tout-puissant ne pouvait être fait avec des galettes cuites par les servantes des curés. La cérémonie de la messe pour laquelle il faut payer 25 sous à un dollar est une imposture inventée pour remplir la bourse du Pape et de ses prêtres."

Je ne sais pas si aujourd'hui il faut toujours payer pour la messe (quelqu'un sait ?) mais l'hostie a toujours la même valeur.

Prisca, je suis content de ta question sur le salut des hommes. Bertrand a déjà répondu, mais j'aimerais ajouter une idée à partir d'un exemple personnel :

Mon papa est artisan et son travail est vraiment intéressant et varié. Il possède un savoir faire unique. Je pense qu'il aurait été particulièrement fier de me voir intéressé davantage par son métier et de pouvoir me transmettre un jour son entreprise. Mais je n'ai jamais voulu m'engager dans cette voie. En fait, je suis parti à l'opposé de son travail manuel pour embrasser des études purement intellectuelles... Malgré cela, mon papa m'a toujours soutenu ds mon choix scolaire financièrement d'une part, mais aussi moralement. Et ceci m'inspire un profond respect envers lui.

Je crois que Dieu agit de même envers nous. Il nous aime tellement qu'il met tout en place pour notre succès éternel. De plus, cet amour respecte notre personnalité et notre liberté de choix, qui est la plus haute diginité humaine. Et qui distingue l'homme des animaux.

Dieu n'est donc pas un tyran mais un père aimant et patient qui nous attire à lui par des "cordages d'amour".

'Sca a écrit:

Ouais, mais yavait qd même un des 10 commandements: "aime ton prochain comme toi-même"

Oui ! Quelle violence chez David ! Mais si seulement nous étions nous-même aussi violent envers nos ennemis spirituels ! En effet, je crois que David représente le chrétien en lutte contre les ennemis qui veulent nuire à sa vie spirituelle et l'église qui combat pour marcher ds la sainteté.

"Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes." (Eph 6:12)

Erasme (humaniste hollandais) a écrit à ce sujet au XVIe s. : "... admettons qu'il existe un Dieu des armées, pourvu que l'on entende par armée un rassemblement des vertus sous l'égide desquels les hommes pieux anéantissent les vices. Admettons encore qu'il y ait un Dieu de la vengeance, pourvu que par vengeance on entende le châtiment des vices, tout comme les massacres cruels dont sont remplis les livres des Juifs, et qui visaient non pas à la destruction d'hommes innocents, mais à l'anéantissement des passions impies dans le coeur humain."

Rachel S a écrit:

Voila ce que je pense, corriger moi si je me trompe.

David a vécu au temps de l'ancien testament et donc il obéi aux lois de Dieu. C'est plus tard, quand Jésus est venue qu'il nous a dit d'aimer nos ennemis.

Je sais pas si t'as compris, quesque vous en pensez les autres ??

Bonne idée Rachel, c'est vrai que Jésus a dépassé la loi du talion (oeil pou oeil, dent pour dent). Seulement l'amour du prochain se trouve déjà dans l'Ancien testament. Jésus développe et commente ce qui était déjà dans les Ecritures. Par exemple, ds Lév. 19:18 :

"Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi–même. Je suis l’Eternel." Lév 19:18

En fait ds les 10 commandements 4 concernent nos rapports avec Dieu = l'amour de Dieu, et 6 nos rapports avec les hommes = l'amour du prochain. C'est pour cela que Jésus a résumé la loi à 2 commandements : aimer Dieu et son prochain !