facile
Pour prouver l'évolution, il faudrait des fossiles montrant le développement graduel, étape par étape, d'une forme de vie animale inférieure en des formes de plus en plus complexes. Or, les milliards de fossiles qui ont été trouvés ont tous des formes de vie très complexes… et aucune forme transitoire n'a pu être observée. Trilobites, brachiopodes, coraux, vers, méduses, poissons, etc.. apparurent soudainement sans signe de développement graduel à partir de formes inférieures. Selon l'évolution, il aurait fallu peut-être 100 millions d'années pour qu'un invertébré évolue en un poisson. Mais il n'y a aucun fossile démontrant que ceci ait eu lieu. Si l'évolution est vraie, pourquoi ne voyons nous pas de nouveaux organes et de nouvelles structures qui devraient apparaître ? D'autre part, nous constatons qu'il n'y a pas de fossiles en formation aujourd'hui
DARWIN a cité la girafe comme un excellent exemple de sélection naturelle : "supposons qu'à la suite d'une sécheresse, les feuilles vertes ne se trouvaient plus qu'en haut des arbres, donc les girafes à petit cou seraient mortes, et les girafes à long cou auraient survécues." Mais que serait-il arrivé aux jeunes girafes ?? DARWIN a négligé le fait que les caractéristiques d'une espèce sont déterminées et programmées dans le code génétique transmis par les parents et non par l'étirement du cou.
2 - L'évolution de l'homme
a)- Le Ramapithèque considéré par certains comme ayant été un hominidé (homme singe) à cause des dents et fragments de mâchoires fossilisées. Mais il existe aujourd'hui des babouins en Ethiopie qui ont les mêmes dents et mâchoires que le Ramapithèque.
b)- L'Australopithèque semblait avoir un crane de singe et des dents d'homme. Son cerveau n'était que 1 tiers de celui de l'homme moderne et il ne mesurait que 1,20 m. Ces créatures n'étaient rein d'autre que des singes, comme ceux d'aujourd'hui.
c)- L'Homme de Java a été élaboré à partir d'un fémur, un dessus de boite crânienne et 3 molaires. M. DUBOIS, qui l'avait découvert, a admis avant sa mort qu'il s'agissait probablement d'un gibbon géant, pas du tout semblable à un homme.
d)- L'Homme de Neandertal a une structure squelettique semblable à celle de l'homme moderne.
e)- L'Homme de Cro-Magnon, s'il vivait aujourd'hui, et qu'il descende dans la rue en costume, passerait tout à fait inaperçu.
3 - L'origine de la vie
Les Darwiniens supposent que la vie ou la cellule primitive est apparue par pur hasard. Quelques acides aminés auraient été formés par hasard, puis de ceux-ci, la protéine indispensable.
La première difficulté est que le taux de destruction des composés chimiques, même relativement simples comme les acides aminés, par la lumière ultraviolette et les décharges électriques surpasse de loin leur taux de formation. Une quantité appréciable ne pourrait donc jamais être produite.
Une autre barrière insurmontable est que les acides aminés devraient être placés dans un ordre exact pour former une protéine, tout comme les lettres dans une phrase. Les seules lois de la physique et la chimie ne peuvent faire cela. La probabilité de la formation hasardeuse d'une protéine de seulement 50 acides aminés est de 1 chance contre le chiffre astronomique de 1 suivi de 65 zéros !!!
C'est à Babel en Mésopotamie que les différents groupes linguistiques se sont formés. Puis ils sont partis de là dans toutes les directions, à la recherche d'un territoire qui leur appartienne. Ces familles ou tribus, de par leur isolement les unes des autres, ont développé des caractéristiques physiques qui leur sont propres : Une couleur de peau, une texture de cheveux, une morphologie, un tempérament etc. qui devinrent dominant dans chaque groupe. Cela fut le début de ce que nous appelons les différentes races, quoiqu'en réalité nous fassions tous partie de la race humaine. Le monde entier a pu être peuplé en quelques siècles, et non pas en millions d'années comme beaucoup le croient. Ces dernières années, l'archéologie a confirmé que beaucoup de civilisations sont apparues à peu près en même temps, il n'y a que quelques millénaires. Des civilisations hautement développées, se sont établies de par le monde après de courtes périodes de migration et de chasse. Lorsqu'une tribu se déplaçait vers une nouvelle région, elle cherchait une habitation provisoire pour établir son camp. Puis elle cherchait un site permanent pour y construire un village ou une ville. Les archéologues ont commis l'erreur de prendre ces habitations provisoires pour des preuves d'un "âge de pierre". Ces abris temporaires pouvaient être faits de pierres, de bois, de peaux ou bien c'était des grottes qui leur servaient de maisons. Ces gens avaient besoin d'un certain temps pour voir si le territoire était favorable, s'il y avait assez d'eau, si la terre était fertile etc. S'ils étaient doués pour la métallurgie, ils avaient besoin de temps pour chercher du minerai. Tout cela a pu prendre des années, pendant lesquelles la tribu devait survivre comme elle pouvait : Chasse, pèche, cueillette... Quelques peuples ont conservé ce style de vie jusqu'à nos jours. Certaines tribus sont devenues de grandes nations, s'installant sur les meilleurs territoires, construisant de grandes villes et mettant sur pieds de grandes armées. D'autres ont préféré une vie rurale, tandis que d'autres, incapables de survivre, se sont éteints.
Durant l'ère glaciaire qui a suivi le déluge, le tiers de la terre était occupé par une épaisse couverture de glace, et les conditions de vie étaient très difficiles à cause du climat humide et froid de ces régions qui aujourd'hui sont tempérées. L'homme dit "de Neandertal", semble avoir vécu au bord de ces immenses glaciers en Europe, et beaucoup d'anthropologues croient maintenant que leur apparence de "brutes" (arcades sourcilières proéminentes, fronts fuyants etc. ), était due au rachitisme (manque de soleil, carence en vitamines D, et régime pauvre ) ou à l'arthrite (froid et humidité). Ces cultures périphériques étaient donc contemporaines des civilisations égyptiennes, babyloniennes, chinoises etc., qui se sont développées dans les latitudes plus méridionales. L'ère glacière a peut-être duré quelques siècles mais pas 2 millions d'années. L'homme de Neandertal était plus fort et au moins aussi intelligent que l'homme de Cro-magnon. Il est vraisemblable que ces 2 groupes vivaient dans la même région et à la même époque. Pourquoi les Néandertaliens ont-ils disparus ? Certains scientifiques croient qu'ils ont été tués par les "Cro-Magnons», mais il semble plus probable que les 2 tribus se soient mélangées pour donner naissance à une nouvelle "race". Dans les zones tropicales ou équatoriales par contre, le climat était plus clément et a favorisé le développement de grandes civilisations. Job, qui vivait probablement à cette époque au Proche-Orient, parle de gens qui habitaient dans des cavernes (Job 30 v3 à 6). Pendant leur séjour dans les cavernes, ils ont peint des animaux sur les parois, que nous pouvons encore admirer maintenant. Ils avaient toute sorte d'outils en pierre, en os, en corne, en bois etc. Ils avaient également des bijoux et des instruments de musique. Tout cela démontre qu'ils n'étaient pas les brutes que l'on représente dans les livres d'histoire. Ceux-ci sont plutôt le produit de l'imagination des artistes évolutionnistes. Les ancêtres des "hommes des cavernes" avaient beaucoup plus de connaissances technologiques : fer, bronze, maçonnerie, agriculture, élevage... (Genèse 4 v17 à 22) Mais certains peuples ont perdu ces connaissances et ont adopté un mode de vie dit "primitif". Une seule génération suffit pour faire des hommes " primitifs’’. L’homme singe n’a jamais existé, en revanche, ‘’l’homme des cavernes’’ existe encore de nos jours dans plusieurs pays. Ces gens vivent de la chasse, de la pèche et de la cueillette, certains même ne connaissent pas le métal, mais utilisent des outils de pierre ou de bois. C'est une grave erreur de dire que certains peuples sont plus évolués que d'autres. Cette croyance a engendré le racisme, l'exploitation, l'esclavage, et même l'extermination (purification ethnique). La Bible dit : ‘’Il (DIEU) a fait que toutes les nations humaines, issues d’un seul sang, habitent sur toute la face de la terre, Il a déterminé les temps fixés pour eux, et les bornes de leur demeures…’’ (Actes 17 v 26).
Depuis 1859, année où Darwin publia son ouvrage "De l'Origine des Espèces", la théorie de l'Evolution est enseignée dans nos écoles et nos universités, non pas comme une théorie, mais comme un fait scientifique avéré.
Seuls quelques chrétiens "fondamentalistes" attachés aux Saintes Ecritures voulaient encore croire à une Création à partir de rien (ex nihilo) par le Dieu de la Bible. Ils sont la risée de tous, méprisés comme de pauvres naïfs refusant de voir l'évidence de l'évolution de l'homme...
En réalité, les évidences sont minces, pour ne pas dire inexistantes. Les plus grands scientifiques de notre ère, tous évolutionnistes à quelques exceptions près sont en train de réaliser que la théorie de l'Evolution est un produit de l'athéisme de la fin du XIXe siècle et non une explication scientifique véritable de ce qu'on observe dans la nature. Le physicien anglais H.S. Lipson, dans le Physics Bulletin de mai 1980 a fait part, également, de ses conclusions, à son propre étonnement. Il écrit : "En fait, l'Evolution est devenue en quelque sorte une religion scientifique ; presque tous les savants l'ont accepté et beaucoup furent prêts à "tordre" leurs observations pour qu'elles correspondent à cette théorie Mais pour moi, la théorie de l'Evolution ne tient pas debout. Si la matière vivante n'est pas le produit de l'interaction entre les atomes, les forces naturelles et les radiations, alors comment est-elle apparue? Je pense que la seule explication acceptable est la création. Je sais que cette idée est taboue parmi les physiciens, comme elle l'était jusque-là pour moi, mais on ne doit pas rejeter une théorie que nous n'aimons pas si l'évidence expérimentale est en sa faveur."
Mais dès 1967, une conférence de mathématiciens au Wistar Institute avait prouvé avec certitude que la sélection naturelle et les mutations génétiques ne pouvaient en aucun cas amener une évolution des espèces. Jacques Monod, le Prix Nobel français de biologie moléculaire, avait démontré dans son livre "Le Hasard et la Nécessité", que l'Evolution était impossible d'un point de vue biologique. En 1980, une conférence de savants évolutionnistes du monde entier, s'est réunie à Chicago (USA) pour déterminer si les petits changements au sein d'une même espèce (appelés "mutations") peuvent, avec le temps et la chance, mener à une évolution de l'espèce. La conclusion, impensable il y a encore quelques années, fut que NON (les résultats de cette conférence ont été résumés dans le magazine Newsweek pour les profanes et le magazine Science de novembre 1980 pour les professionnels).
Pierre Grasse, par exemple, considéré comme le porte-parole des zoologistes français, avoue que les mutations ne font que modifier ce qui existait déjà et ne créent rien de nouveau. Les paléontologues (qui s'occupent des fossiles) ont déclaré que les évidences fossiles révèlent que la réalité est bien loin du Darwinisme classique, tel qu'il est enseigné dans les écoles américaines (article de Newsweek ). Stephen Gould ajouta : Toute trace d'évolution est absente des roches. Newsweek fait remarquer que le chaînon manquant entre l'homme et le singe est le plus prestigieux de toute une hiérarchie de créatures fantômes. Dans le monde fossile, les chaînons manquants sont la règle. Plus les scientifiques ont cherché des formes de transition entre espèces et plus ils ont été frustrés.
Deux autres savants, astronomes et mathématiciens, Sir Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe, ont défrayé la chronique en novembre 1981 par leur révélation. Sir Fred Hoyle, considéré comme l'un des plus éminents astronomes au monde, et jusque-là évolutionniste convaincu, a publié un article dans le magazine Nature sous ce titre : Il doit y avoir un Dieu. Les deux savants ont travaillé chacun de leur côté pour arriver aux mêmes conclusions : la vie n'est pas le résultat du temps, du hasard et des propriétés de la matière, mais d'une action délibérée. Hoyle était un agnostique et Wickramasinghe un bouddhiste athée qui, selon ses propres mots, avait subi un lavage de cerveau l'amenant à penser que la Science s'opposait totalement à tout acte de création.
Un autre savant éminent, le Prix Nobel Szent-Gyorgyi, a déclaré, après avoir étudié un oiseau comme le pivert, que la probabilité pour que des mutations aient produit une coordination si parfaite pour creuser le bois est nulle. Tout cela a dû apparaître au même moment. C'est bien sûr ce que le récit biblique décrit depuis toujours. "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre" (Genèse 1:1). L'homme essaye de fuir cette vérité parce qu'il refuse de se soumettre à son Créateur.
Mais la réalité d'un Créateur intelligent et aimant est trop évidente pour rester cachée plus longtemps : "Les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient comme à l'œil nu depuis la création du monde, quand on les considère dans Ses ouvrages." (Romains 1: 20).
Emmanuel Bozzi
j'ai 55 pages sur ce sujet, la j'ai pris le plus interessant des 11 1eres pages, c'est très interessant, si j'avais eu ça au lycée je crois que je l'aurai montré à mon prof d'svt.
si tu en veux encore ya pas souchi
(je crois que c'est le plus long message jamais posté sur sur forum^^)